Aujourd’hui la tendance et la culture bio. Que ce soit à l’campagne ou dans une zone urbaine, il est possible de réaliser un potager bio. Voici quelques conseils pour vous aider dans votre travail. Pour cela on commencera par la définition du potager bio, ensuite on continue avec la préparation du sol et on terminera par la réalisation du compost.
Définition d’un potager bio
Un potager bio se présente comme une parcelle de terrain où l’on cultive les produits de manière à ce que le sol et l’environnement ne soit pas affecté par les produits chimiques. Il suit les préceptes du développement durable. L’objectif est d’enrichir le sol pour permettre au plan de se développer d’une manière naturelle et sans apport en produits nocifs. Pour cela il faut veiller à leur bonne santé afin d’éviter l’emploi d’engrais de synthèse ou de pesticides. Lorsque vous commencez, choisissez des potagers simples comme les radis les carottes. Pour cultiver ces plantes, il est important d’utiliser des matériels spécifiques comme le râteau. Les semis doivent être espacés, mais pas trop. A noter qu’il est important de tracer des allées pour pouvoir facilement travailler sans abîmer les plantations. Tracez donc des allées au cordeau. Ensuite, tracer les sillons avec une serfouette.
La préparation du sol
Avant toute chose, il est important de connaître quels types de sols on possède devant soi. Il y a plusieurs types de sols comme le sol superficiel ou un sol profond. Le sol superficiel par exemple est une couche de terre peu profonde pour être cultivé, car en dessous il y a des roches. Au contraire, le sol profond se présente comme une couche de terre dont on peut cultiver sur des dizaines de mètres de profondeur. Ensuite, il faut s’intéresser sur la qualité de la terre. Il faut savoir si elle est sableuse, lourde ou argileuse. Chaque type de terre possède des avantages et des inconvénients. Par exemple les sols lourds et argileux ont la propriété de retenir beaucoup d’eau et disposent d’éléments nutritifs. Il faut également savoir bien préparer sa terre. On peut le faire des années à l’avance. Si vous avez une surface acceptable, vous pouvez commencer par diviser le sol pour pouvoir planter sur une partie pendant la première saison et ensuite émigrer vers une autres partie l’année suivante. En effet il faut laisser reposer la terre pendant quelques périodes. Vous pouvez aussi apporter du compost pour recréer un humus. Pour un sol sablonneux, la structure est stable. Mais il a besoin d’humus.
La préparation du compost
Le compostage se définit comme un moyen de transformation des déchets organiques tels que les ordures de cuisine afin qu’ils nourrissent la terre. On peut retrouver les déchets de bois ou de légumes. En somme, le compost se présente simplement comme de la matière organique en décomposition. Une brindille peut être de la matière organique, mais une peau de banane aussi. Lorsque vous mélangez ces éléments ensemble dans un tas de compost, ils se décomposent naturellement en un engrais riche en nutriments. Presque tout ce qui vient du sol peut être composté. Le compostage implique beaucoup de collecte dans une pile, un tas ou un bac. Au lieu de jeter votre marc de café ou vos restes de légumes tout au long de la semaine, vous n’avez qu’à les charger dans votre compost. Le reste des règles dépend de l’endroit où vous gardez ce compost : à l’intérieur ou à l’extérieur. Si vous compostez dans une maison avec un espace extérieur. Tout d’abord, prévoyez un endroit à l’extérieur pour votre tas de compost. Au fur et à mesure que vous accumulez des éléments pour le compost, optez pour un mélange de matière « verte » riche en azote et de matière « brune » riche en carbone.